Avec la crise, de nombreux restaurants bradent les prix des plats et menus un jour de la semaine, dans l’objectif de fidéliser la clientèle pour les autres jours à des tarifs plus raisonnables.
Exemples :
Le restaurant « L’ETAGE » à NANTES a lancé un menu complet à 3, 50 euros tous les mardis midis.
Le restaurant « LA CABANE » à Saint-Malo avec son menu de crise à 3,90 euros.
Un restaurant de Londres propose même à ses clients de fixer le prix de la note sur un papier vierge. Seul le prix des boissons est imposé. Et les clients jouent le jeu en estimant le prix de leur repas. Et la formule est un succès incroyable.
Pourquoi ne pas créer un restaurant low cost dont le modèle économique permettrait de faire beaucoup mieux que de simplement rentrer dans ses frais ?
Une première solution consisterait à économiser sur les frais du restaurant.
Avec 1 seul serveur disposé derrière le bar, les clients seraient volontiers prêts à se déplacer de quelques mètres pour économiser de l’argent. En réduisant ainsi sur le personnel, la décoration, voir sur les frais de location des locaux (inutile de payer un emplacement hors de prix), les prix affichés sur la carte peuvent êtres largement revues à la baise.
La deuxième solution est inspirée des compagnies de low cost aériennes ; payez moins cher en réservant tôt.
C’est ce qu’à fait Claude Luisier dans son restaurant de Saillon, « Le Vieux-Bourg ».
« Cela marche avec EasyJet. Pourquoi ne pas tenter l’expérience dans la restauration ? »
Sa stratégie : Les huit premiers internautes auront leurs repas à 50%. Les huit suivants, les rabais seront de 25% et enfin les huit derniers se fixeront à 10%. Et c’est un succès.
Le concept low cost commence à faire saliver des collègues restaurateurs dans la région.
C’est une idée de business que l’on aimerait bien voir se développer partout en France.
Business model : Proposer un restaurant low cost avec des tarifs très attractifs en réduisant les coûts de fonctionnement au minimal.
Commentaire personnel : Ouvrir un restaurant low cost est beaucoup moins risqué en ce moment que d’ouvrir un restaurant traditionnel grâce à la différence de l’investissement nécessaire à une telle entreprise pour fonctionner. Pourquoi ne pas s’associer à un traiteur pour ne pas avoir à faire la cuisine ? Cela peut être une étape permettant de réduire encore les investissements et de démarrer l’activité.
Ping : ZeroDette.com
j’ai ouvert un restaurant low cost depuis 18 mois deja, ça marche trés bien, j’ai pleins de projets pour développer cette formule.
Pour compléter l’article, on voit effectivement des sites Internet qui se développent aujourd’hui avec cette idée.
Je pense par exemple à http://www.crocomeal.com qui propose aux restaurateurs de faire des promotions en fonction des jours et heures d’utilisation et de les vendre sur le site.
Ce concept basé sur le e-couponing provient des pays anglo-saxons. Aux USA par exemple, le site restaurant.com fait un carton avec un concept similaire.
je reviens vers vous depuis le 15 décembre 2009 ou j’avais parlé de mon restaurant low cost. J’ai fait beaucoup de chemin depuis et amélioré mon concept. Il marche très fort, 150 repas jour. vous pouvez me contacter pour plus de renseignement
Tout réside dans la maîtrise des achats, transformation des marchandises, gestion du personnel, charges et frais de fonctionnement.
je reviens encore sur le même sujet pour confirmer qu’il est très facile pour n’importe qui, de faire bon et pas cher. Il est préférable de gagner peu que de ne rien gagner du tout ! encore faut il avoir la passion et l’énergie.
Toujours et plus que jamais d’actualité, la crise qui perdure, les portes monnaies qui s’aplatissent.Mon concept marche toujours aussi bien, “la mayonnaise maison monte ” je vais très prochainement proposer mon concept sur le marché.
Bonjour à tous, toujours sur la scène du restaurant économique, j’amorce avec brio mon quatrième exercice.Ma formule buffet à volonté pour cette année sera à 9,30 € sourire compris. SI vous aussi, souhaitez faire exploser votre chiffre d’affaire, rejoignez-moi au 0683870725
Cuisinier depuis plus de trente ans, Gérard Caillé réorganise en 2008 son restaurant et crée 250 places assises dans un vaste bowling devenu dancing. Son buffet à volonté à 9,30 euros tout compris ne cesse de séduire !
L’Espace Jaune Poussin sait marier tous les plaisirs et services pour satisfaire ses clients et faire le pied-de-nez à la crise !L’Espace Jaune Poussin réinvente le restaurant… les clients adorent !
Afin de faire face à la crise et de permettre à ses clients de manger bon et pas cher, le restaurateur Gérard Caillé, installé à Périgueux en Dordogne, décide en 2008 de lancer une formule inédite.
Son concept défie toute concurrence : un buffet libre à volonté pour 9,30 euros tout compris.Une formule plébiscitée par tous.Déjeuner pour 9,30 euros tout compris… vous en avez rêvé ? Gérard Caillé l’a fait !
Ouvert tous les midis du mardi au vendredi, le restaurant Jaune Poussin propose à ses clients une formule buffet à volonté alliant qualité et petit prix. Parce qu’ils sont pressés, que leur budget est serré, les clients de tous horizons sont au rendez-vous !L’espace Jaune Poussin, un concept qui pourrait bien séduire d’autres restaurateurs !…
bonjour
Je suis toujours debout! Venant d’assister à une conférence sur le low cost avec intervenant Emmanuel Combe prof d’éco à Paris I. Rien de neuf pour moi sauf que je suis en plein dedans. Je pratique avec excellence ce mode de commerce et je m’en porte très bien.
Depuis septembre 2008, mon concept de restauration est toujours en phase ascendante, ceci prouve et démontre que ce marché décrié pour certain comme le marché du pauvre ou l’ennemi de la qualité, reste néanmoins porteur même dans la restauration.
Toujours et encore au sujet de mon concept low cost sur périgueux.
Janvier, février, mars 2013 une augmentation de 38% du CA , avril +30%, mai + 15%, nous allons clôturer notre exercice
avec + 15%.